Connaissez-vous l’aspergillus fumigatus ?
Les Aspergillus sont des moisissures présentes à l’intérieur de locaux comme les habitations, les lieux publics, les écoles, les hôpitaux dans lesquels ils peuvent trouver des conditions propices à leur développement (humidité et manque de ventilation). Ils produisent des millions de spores qui sont véhiculées dans l’air et inhalées dans les poumons. Dans un certain nombre de cas, la maladie se développe. Plus la quantité de spores est importante, plus le risque de maladie est grand.

Nous vivons depuis toujours dans un monde peuplé principalement de micro-organismes. Nous les respirons, nous les ingérons, certains nous aident et nous avons appris à lutter contre ceux qui peuvent nous porter préjudice, rappelle le Pr Stéphane Bretagne, responsable du laboratoire de parasitologie-mycologie de l’hôpital Saint-Louis, à Paris. Les champignons microscopiques peuvent aussi provoquer des troubles et des infections, en particulier les aspergilloses, qui sont, depuis quelques années, en augmentation et qui posent de nouvelles questions à la communauté scientifique.

Aspergillus fumigatus est un champignon filamenteux, une moisissure, qui possède les caractéristiques « idéales » pour coloniser l’organisme humain. Il possède en outre des spores particulièrement petites qui sont transportées par le moindre souffle d’air et peuvent échapper au balayage incessant des cils qui bordent nos voies respiratoires pour se loger dans des cavités minuscules où un système immunitaire un peu déficient ne parviendra pas à les détecter ou à les déloger.

Les 4 principales maladies que l’on rencontre sont des sinusites, des allergies broncho-pulmonaires, une aspergillose invasive et un aspergillome.
On peut lutter préventivement contre ces maladies invalidantes par une ventilation intelligente de type URTA où l’on fait circuler dans l’habitation une quantité d’air frais adapté et filtré.
A défaut de cette solution, un traitement médicamenteux, qui parfois peut s’avérer onéreux, pourra éventuellement réduire les symptômes de ces maladies.
Le mode de vie que nous connaissons actuellement avec le télétravail et le confinement entraine des déséquilibres dans nos habitations. Nous voyons apparaitre des désordres que nous n’avions jamais vu auparavant. Des coulées d’eau, des moisissures, une sensation humide, des difficultés à respirer, à se concentrer. Le manque de ventilation et les ponts thermiques sont mis en évidence.
Pourquoi ?
Avec le Covid, nous passons des journées entières enfermés dans nos habitations, nous nous calfeutrons et oublions qu’une habitation, c’est comme notre corps, elle a besoin de respirer. En respirant, nous produisons une quantité importante d’humidité.
L’air frais que nous inspirons comporte environ 0,04% de CO2 et 0,66% d’eau.
L’air que nous expirons comporte environ 4% de CO2 et 6,2% d’eau.
L’air expiré comporte donc 100 fois plus de CO2 et 10 fois plus de vapeur d’eau.
Une famille de quatre personnes produit près de 12 litres d’eau par jour, soit l’équivalent d’un seau d’eau que l’on déverserait dans le living. Si vous ajoutez la production d’humidité de la cuisine et de la salle de bain vous comprendrez que votre air est vite saturé en humidité.
Nous parlons de l’humidité, mais le taux de CO2 et l’ensemble des polluants sont encore plus néfastes pour votre santé. De nombreuses études récentes ont démontré que l’air que nous respirons dans nos habitations est plus pollué que l’air extérieur. La liste des substances polluantes, nocives pour la santé, est longue : elle commence par l’acrylnitril (supposé être cancérigène et se trouvant par exemple dans les tapis et les papiers peints) et se termine par le xyligen B (un fongicide désormais retiré du marché) en passant par le cadmium, les dioxines, le formaldéhyde, les pesticides, le PCP, les solvants, mais aussi la fumée des cigarettes…
La solution.
Ventiler, ventiler, ventiler avec intelligence et en fonction des besoins du bâtiment. L’idéal pour une bonne ventilation c’est un apport d’air frais filtré (F7), un renouvellement complet de l’air intérieur toutes les 90 minutes et une gestion en temps réel du système par une sonde intérieure et extérieure.
Les concessionnaires Daumus offrent des analyses gratuites de votre air intérieur et proposent des solutions intelligentes adaptées à tout type d’habitation et bureau.
Les moisissures sont des champignons microscopiques qui se répandent sur tous les supports.
Allergies
Contrairement à ce que l’on imagine, les allergologues ont beaucoup de travail pendant l’hiver. La plupart des gens en effet pensent que les allergies se manifestent principalement au printemps, à la période des pollens, mais on ignore souvent que l’hiver favorise aussi toute une ribambelle de réactions allergiques causées par les moisissures.
En général, les personnes allergiques aux moisissures n’identifient pas l’allergie comme cause de leurs troubles. Elles n’ont pas d’animal domestique, elles aèrent leur lit pour détruire les acariens, alors elles pensent être particulièrement sensible au froid et aux affections de l’hiver. Mais, malgré les traitements, elles traînent cela jusqu’aux retour des beaux jours. Elles sont allergiques aux moisissures mais ne le savent pas.
Durant les mois les plus froids, on reste en effet enfermé chez soi, chauffage à fond, fenêtres bien fermées et couvertures empilées. Quelle erreur ! L’humidité et les moisissures vont circuler dans toute la maison. La maison, bien sûr, mais aussi l’école où vont nos enfants, notre lieu de travail, notre voiture, les lieux publics fermés, la cave ou le garage. Or, tous ces endroits fermés sont au cœur de notre vie puisque nous y passons 80% de notre temps.
Caroline Morel 20-01-2016
Moisissures et santé – de possibles impacts immunitaires, inflammatoires et neurologiquesLes moisissures, un danger pour la santé
Environnement
L’exposition chronique aux moisissures peut poser de nombreux problèmes allergiques et respiratoires aujourd’hui largement reconnus (nez qui coule, éternuements, larmes) … Mais des chercheurs alertent sur d’autres maux peu explorés d’ordre immunitaire, inflammatoire et même neurologique.
Les liens entre une exposition chronique aux moisissures dans les bâtiments et des maladies respiratoires sont aujourd’hui bien établis, et même reconnus par l’OMS, même s’ils sont souvent trop méconnus pour que le lien entre maux et environnement immédiat toxique se fasse spontanément. Mais il existe d’autres symptômes encore moins connus. Or on estime aujourd’hui qu’entre 10 à 50 % des bâtiments en Europe, Amérique du Nord, Australie, Inde et Japon présentent des problèmes significatifs liés à des moisissures toxiques (source OMS). À ce constat structurel s’ajoutent évidemment les conséquences ponctuelles d’intempéries et d’inondations courantes sur les bâtiments. Dans ce contexte, il est intéressant de faire un panorama des conséquences possibles et moins connues des moisissures toxiques sur la santé, pour permettre à tout un chacun de les identifier, le cas échéant.
Inflammation chronique et atteintes neuronales : les mycotoxines soupçonnées
Une exposition chronique peut donner une réponse inflammatoire chronique, neurologique et immunitaire déclenchée par les mycotoxines produites par les moisissures. Le médecin américain Ritchie Shoemaker, suite à ses propres problèmes de santé, a fait des recherches extensives en la matière et a inventé le terme “Chronic Inflammatory Response Syndrome” (ou CIRS).
Les impacts neuronaux sont difficiles à évaluer avec clarté mais des recherches, encore dispersées, existent. Une exposition chronique de plus de deux ans a, par exemple, été associée à une détérioration cognitive chez les enfants (1). Certaines autres études (2) indiquent que certains cas de maladies d’Alzheimer (celle du type 3, selon la catégorisation proposée par le Dr Dale Bredesen), pourraient être liés à une exposition aux moisissures toxiques ou plutôt aux métabolites toxiques – les mycotoxines – produites par ces champignons. Les résultats des recherches du Dr Ritchie Shoemaker suggèrent que les patients présentant des symptômes compatibles avec la maladie d’Alzheimer de type 3 devraient être évalués pour le CIRS.
D’autres hypothèses circulent concernant certaines scléroses en plaques (3), dont les causes sont notoirement obscures à ce jour. En cause : le relâchage de toxines attaquant les astrocytes et oligodendrocytes, accélérant la dégradation de la myéline et les symptômes de la SEP.
Maria Fornell 01-12- 2020
J’ai un problème d’humidité dans ma maison, est-ce de la condensation ?Il est aujourd’hui prouvé que l’humidité à des effets néfastes sur la santé de ses habitants.
Etablir une étude personnalisée complète et sérieuse par un expert humidité est une nécessité. Après avoir dressé l’historique du bâtiment et posé les questions essentielles pour la bonne compréhension du problème, une inspection détaillée des lieux est nécessaire. Cette étude se fera avec l’aide d’appareils de mesures adaptés. Dans certains cas, des mesures de pollution intérieure peuvent être réalisées.
Des gouttelettes sur les vitres intérieures, des petites taches noires sur les murs et sur les bords des fenêtres, une odeur prenante dans la pièce, on est sans doute en présence de condensation. Il faut maintenant vérifier son origine et surtout établir qu’il n’y a pas un autre phénomène d’humidité qui entraine cette condensation. C’est là tout le travail d’un expert, vous guider vers la meilleure solution.
Comment régler ce problème de condensation ?
Par une bonne aération de la maison tout en étant vigilant au refroidissement de celle-ci.
Par le placement d’un système de ventilation adapté à votre problème.
Par l’utilisation de matériaux respirants comme l’argile.
Vous souhaitez en finir avec votre problème de condensation ?
Demandez une étude personnalisée à votre expert régional Daumus.
Ajouter des m² à ma maison sans construire, est-ce possible ?A l’heure où le prix au m² d’une maison ne cesse d’augmenter, chaque m² compte. L’immobilier devient très cher et il est plus avantageux d’aménager une cave, qui est une pièce déjà existante, que d’agrandir une maison. La transformation d’une cave en buanderie, en salle de cinéma, en bar, en salle de sport, en salle de détente, en salle de jeux pour les enfants demande une approche professionnelle pour éviter les mauvaises surprises.
Les premiers paramètres à tenir en compte sont les dimensions de celle-ci. Idéalement une surface au sol de minimum 10m² et une hauteur sous-plafond de 2m sont nécessaires.
Ensuite, il faut avoir une vue générale de la salubrité de la pièce. Lorsqu’on désire aménager une cave en pièce à vivre, il faut prendre en compte différents facteurs. A partir du moment où les murs sont en contact avec la terre, ils vont absorber beaucoup plus facilement l’humidité. Il y a donc plus de risque d’infiltrations d’eau et d’humidité ascensionnelle que dans le reste de l’habitation. Salpêtre, ruissellements, briques qui se délitent et condensation sont des phénomènes courants.
Comment réaliser ce projet ?
Il faut définir avec précision l’objectif recherché. Si vous souhaitez installer une cuisine ou une buanderie, il y a lieu de penser au rejet des eaux usées, par exemple.
Ensuite l’étanchéité de votre cave doit être la priorité. Les murs et le sol doivent recevoir des traitements efficaces définitifs et adaptés aux problèmes rencontrés. Les concessionnaires Daumus sont formés pour apporter la solution personnalisée à chaque situation. En plus, ils régulariseront le flux d’air frais pour que vous puissiez respirer un air sain.
Quand se travaille sera terminé, il sera alors temps de passer à la décoration et à l’aménagement.
En effectuant ce travail, vous vous octroyez de l’espace bonheur dans votre maison et vous en augmentez la valeur.
L’URTA , un système performant de ventilation chez Daumus.Dans un article paru dans le supplément Immo du journal Le Soir, une étude de Vinçotte met en évidence que pour lutter efficacement contre le virus du Covid, de la grippe, une ventilation avec un apport d’air extérieur est le plus efficace. Efficace en entreprise et donc très certainement efficace pour notre lieu de vie.
Le système de ventilation URTA que nous proposons à nos clients permet :
- D’amener de l’air frais extérieur.
- De filtrer cet air et de le dépolluer grâce au filtre F7.
- De le préchauffer.
- De renouveler complètement de l’air de l’habitation toutes les 90 minutes.

L’humidité impacte directement la facture d’énergie.
L’humidité « absorbe » la chaleur de l’habitation et celle du chauffage. Si les murs sont humides et que la maison est chauffée, voir surchauffée, cela entraine une augmentation de l’humidité ambiante par transpiration de ceux-ci. Pour obtenir une température de confort, il est nécessaire dans une maison humide d’augmenter le thermostat, car 20° dans un air à 45 % d’humidité relative n’est pas comparable avec 20° dans un air à 80 % d’humidité relative. Il faut savoir que toute augmentation d’un degré au thermostat entraine une augmentation de 7% de votre consommation d’énergie.
L’avenir de notre planète passe par des économies d’énergie drastiques et nous pouvons, à notre niveau, influencer ce mouvement en mettant notre habitation à l’abri de consommation excessive en éliminant notamment ses problèmes d’humidité. C’est en cela que nos concessionnaires Daumus ont une véritable responsabilité pour les générations futures. Rejoignez Daumus :